Dans mon pays, depuis la crise de la COVID-19 et la crise énergétique, la vie a beaucoup changé. Chaque jour, nous faisons l'expérience de la violence chez les mineurs, de la violence domestique à la campagne et dans les grandes villes. Les discours de haine dans les espaces publics, la violence raciste à la frontière et la violence à l'école ont été enregistrés par le réseau d'enregistreurs de violence radicale ces dernières années.Chacun d'entre nous est une future victime puisque de nombreux incidents se retrouvent dans notre vie quotidienne. Le manque de confiance d'une grande partie de la population dans les autorités amène les victimes à réfléchir et à éviter les plaintes officielles. Un effort de l'État, des municipalités et des écoles avec des ateliers sur les discours de haine est fait mais n'est pas efficace car le phénomène évolue avec une tendance à la hausse. Il est impératif que l'UE coopère et s'engage en faveur de la société et évite des situations pires dans un avenir proche. Nous rêvons d'une société où règnent la paix et la compréhension, et non la haine et la guerre.