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Vihapuheen ja vihatekojen torjunta yhteiskunnassa

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La haine est le refus de l'autre et/ou de l'étranger aussi bien dans l'espèce humaine que dans nombre d'espèces animales.

Kuva
Jacques Jacubert

La haine dérive de la peur de l'individu contre l'inconnu (territoire, coutumes, rituels, etc.). Elle est donc inhérente comme d'ailleurs l'empathie à la nature de l'homme, espèce animalière comme d'autres comme par exemple les grands singes et les félins.
Pour que l'individu puisse vaincre cette haine, il doit en prendre conscience grâce à l'éducation sous toutes ses déclinaisons (parentale, scolaire, universitaire, cultuelle, culturelle, historique, visite mémorielle) mais aussi par les échanges intercommunautaires pratiquées régulièrement.

Cette haine naturelle chez Kant ne l'est pas chez Rousseau. En réalité, les 2 philosophes avaient raison car l'homme peut facilement passer de l'amour à la haine et vice-versa. Tout dépend de son environnement et comme Spinoza l'avait si bien décrit de son désir: j'ai faim, j'ai soif, j'ai peur.
Un exemple parmi d'autres, le génocide au Rwanda entre les Hutus et les Tutsi où les massacres ont décimé des fraternités, des voisinages et des amitiés.
Le combat contre la haine n'est jamais achevé et demande qu'une politique commune et une vigilance continue soient instituées à tous les niveaux de la société humaine avec des cellules composées d'experts spécialisés (historiens, biologistes, sociologues) émettant leurs conclusions aux politiques et soient publiées régulièrement.

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